Sécurité, fonctionnalité, balisage, confort ou soirées prolongées en terrasse, les bonnes raisons sont nombreuses d’installer un éclairage à l’extérieur. Mais l’installation sera exposée à l’humidité, aux changements de température, voire même à des chocs. Un certain nombre de précautions s’impose donc.
N’achetez que du matériel étanche, conforme au standard IP23 au minimum (c’est indiqué sur le boîtier).
Attention! En cas de problème, votre assurance refusera de vous couvrir si votre matériel n’est pas conforme. |
Pour l’allumage, pensez aux détecteurs de mouvement. Dotés d’un senseur crépusculaire, ils ne fonctionneront plus quand le jour se lève, évitant les allumages inutiles. Les bons modèles sont réglables en durée, en portée et en sensibilité, ce qui évitera les allumages à chaque passage du chat…
Si vous optez pour un allumage manuel par interrupteur, choisissez un modèle bipolaire, plus sûr car il coupe le courant sur les deux fils.
En 230 V, vous devez obligatoirement connecter la ligne extérieure à un disjoncteur différentiel de 30 mA (comme pour la cuisine et la salle de bain). Ce disjoncteur ne doit servir que pour la ligne extérieure.
Si vous optez pour le 12 V, vérifiez que le transformateur est prévu pour aller à l’extérieur. Dans le cas contraire, branchez-le sur une prise placée à l’intérieur d’un local et démarrez le câblage vers l’extérieur à partir de là.
Attention! N’utilisez que du câble qui peut être enterré (VVB) et faites-le passer dans une deuxième gaine isolante cannelée. |
Faites toujours entrer les câbles par le bas dans les luminaires, boîtiers ou interrupteurs, jamais par le côté.
Remplacez sans hésiter tout matériel défectueux ou endommagé.
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